Datant ce paysage pastoral vers 1645, M. Röthlisberger insiste sur sa qualité poétique : c'est un exemple rare chez le Lorrain d'une composition où la nature s'efface devant l'architecture, reflétée ici dans l'eau.
Datant ce paysage pastoral vers 1645, M. Röthlisberger insiste sur sa qualité poétique : c'est un exemple rare chez le Lorrain d'une composition où la nature s'efface devant l'architecture, reflétée ici dans l'eau.