Aile Sully

Vase grec ou Hydrie

Le Louvre a acquis un prestigieux vase grec en bronze que la qualité de son exécution et son état de conservation placent parmi les meilleurs exemples de récipients métalliques.

Saint Sébastien soigné par Irène

Après sa découverte en 1945, le tableau a fait l'objet d'appréciations variées, toujours fondées sur des comparaisons avec l'oeuvre d'identique composition du musée de Berlin.

La Folle monomane du jeu

Ce tableau fait partie d'une série de dix études d'aliénés peintes par Géricault entre 1819 et 1822 pour son ami le docteur Etienne-Jean Georget, aliéniste et médecin-chef de l'hôpital de la Salpêtrière à Paris.

Coupe d’un roi de Samatura

Outre ses qualités esthétiques, cette coupe présente pour le musée un intérêt historique capital : l'’inscription, malgré sa brièveté, permet de la rattacher à un « trésor » d’'objets précieux amassés par la dynastie d'’un royaume jusqu’'alors inconnu, les rois de Samatura.

Statuette de femme debout

Ce torse d'une belle qualité a été réalisé dans un bronze patiné pour faire ressortir les incrustations de fils d'or. Cette technique du « bronze noir » fut en usage de la XVIIIe dynastie à l'époque saïte.

Le Chancelier Séguier

Pierre Séguier (1588-1672), nommé chancelier de France en 1635, fut le principal protecteur de Le Brun. Il finança le séjour romain du peintre (1642-1648) et devint par la suite l’'un de ses principaux commanditaires.

Idole aux yeux

Cette figure aux yeux stylisés illustre un moment crucial du développement des premières civilisations complexes à la fin du IVe millénaire.

Blindage de carquois

Les carquois étant normalement en matériau léger, vannerie ou toile tendue, il n'en subsiste rien sauf dans le cas exceptionnel où ils étaient revêtus d'un blindage de métal, matériau coûteux qui en faisait un objet d'apparat.

Figurine d'homme

Les figurines d'ivoire ou de pierre, représentant des personnages peu vêtus dans une attitude raide, sont bien connues, mais restent cependant des pièces exceptionnelles. Celle-ci est remarquable et il en existe très peu d'exemplaires similaires.

Portrait de jeune homme en chasseur

Excepté sa date, 1811, qui accompagne le monogramme (auquel le peintre a, depuis son adoption en 1809 par le docteur Trioson, ajouté l’initiale de ce dernier), on ignore tout de ce portrait. 

 confidentialité