Aile Sully

Vase orné d’un combat de fauves et de serpents

Ce vase en pierre verte est décoré d'un léger relief et d'incrustations. La chlorite qui a servi à le tailler est une roche tendre dont les principaux gisements se trouvent dans la péninsule d'Oman et en Iran de l'Est.

Coupe d’un roi de Samatura

Outre ses qualités esthétiques, cette coupe présente pour le musée un intérêt historique capital : l'’inscription, malgré sa brièveté, permet de la rattacher à un « trésor » d’'objets précieux amassés par la dynastie d'’un royaume jusqu’'alors inconnu, les rois de Samatura.

Idole aux yeux

Cette figure aux yeux stylisés illustre un moment crucial du développement des premières civilisations complexes à la fin du IVe millénaire.

Le Chancelier Séguier

Pierre Séguier (1588-1672), nommé chancelier de France en 1635, fut le principal protecteur de Le Brun. Il finança le séjour romain du peintre (1642-1648) et devint par la suite l’'un de ses principaux commanditaires.

Figurine d'homme

Les figurines d'ivoire ou de pierre, représentant des personnages peu vêtus dans une attitude raide, sont bien connues, mais restent cependant des pièces exceptionnelles. Celle-ci est remarquable et il en existe très peu d'exemplaires similaires.

Blindage de carquois

Les carquois étant normalement en matériau léger, vannerie ou toile tendue, il n'en subsiste rien sauf dans le cas exceptionnel où ils étaient revêtus d'un blindage de métal, matériau coûteux qui en faisait un objet d'apparat.

La Reine Ouret (« la grande »), épouse de Sésostris II

Taillée dans un bloc de diorite sombre, la sculpture est intacte, y compris le visage miraculeusement préservé. Elle s'impose par sa force et sa sobriété, caractéristiques de l'art du Moyen Empire, période considérée comme l'âge classique de l'Egypte pharaonique.

Portrait de jeune homme en chasseur

Excepté sa date, 1811, qui accompagne le monogramme (auquel le peintre a, depuis son adoption en 1809 par le docteur Trioson, ajouté l’initiale de ce dernier), on ignore tout de ce portrait. 

La Reine Tiy, élément d'un groupe royal

La partie inférieure de ce groupe royal se trouvait dans les collections du Louvre depuis 1826, mais, réduite à un fragment de robe, elle ne présentait guère qu'un intérêt archéologique.

Groupe fragmentaire représentant trois femmes en haut relief

Les inscriptions verticales nomment deux des personnages : à gauche, « Tadiiyemhetep, fille de l'’administrateur des temples Nakhthorheb, née de Herneith » ; au centre, « Tadiiyemhetep, fille de l’'administrateur et prêtre de …Herefneith, née de Taihet ».

 confidentialité