Sir Henry Raeburn est connu comme le plus grand portraitiste écossais, dont l'art ne s'est jamais, dit-on, mieux affirmé que dans les grands portraits d'homme en pied. Il fut en 1822 le premier artiste écossais anobli depuis la réunion des deux royaumes.
Eva Prima Pandora
Mentionnée dès le XVIIe siècle comme une des curiosités de la ville de Sens, la Pandore de Cousin avait le privilège d'être non seulement une des rares sinon la seule des peintures connues de cet artiste originaire de Sens, mais encore d'être demeurée sans interruption ni infortune dans son...
Joas sauvé de la persécution d'Athalie
Gioacchino Assereto est une figure majeure de l'école génoise du XVIIe siècle.
Bord de mer au clair de lune
Tableau majeur de l'école romantique allemande, cette oeuvre de Caspar David Friedrich est la deuxième peinture de l'artiste à entrer au Louvre après l'acquisition par le musée en 1975 de L'Arbre aux corbeaux.D'un format modeste et d'une gamme de coloris restreinte, ce paysage discret, s...
Ange en adoration
En 1909, la générosité d'un petit groupe d'Amis du Louvre avait permis l'entrée au musée d'un séduisant petit Ange de profil sur fond d'or de Fra Angelico, l'un des interprètes les plus précoces et talentueux de la Renaissance toscane.
La Parabole du bon grain et de l'ivraie
Cette peinture sur cuivre de format ovale attribuée au peintre bolonais Domenico Maria Viani (1668-1711) a pour sujet la parabole évangélique du bon grain et de l'ivraie.
Le Marchand de cigares
Depuis une vingtaine d'années, le département des Peintures s'efforce de constituer une section significative de tableaux de « l'Age d'or danois ».
Pierre Quthe
Révélé à la critique lors de la vente des collections du palais de San Donato à Florence en 1880, le portrait de Pierre Quthe, apothicaire, voisin et ami de François Clouet, alors conservé dans la collection viennoise du Dr Paul R.
Cimetière et ruines envahis par les arbres
Le Cimetière se situe tout au début de la carrière de Lessing juste au moment où il part pour Düsseldorf en septembre 1826. L'artiste aborde ici un des thèmes chers aux maîtres de la peinture romantique allemande : le cimetière associé au motif des ruines.