Aile Richelieu

Portrait funéraire du duc d'Orléans

Moins célèbre que les portraits peints de l'héritier du trône, cette effigie funéraire fut reproduite à un très petit nombre d'exemplaires à la demande expresse de la mère du prince, la reine Marie-Amélie.

Jeune Homme rêvant dans un jardin

Cette page est la seule œoeuvre de Muhammad Yusuf, artiste actif sous le règne de Shah Abbas II (1642-1666), que le Louvre possède. Il est vrai que seules une douzaine de pages sont signées de sa main dont quatre datées. Le corpus de son oeœuvre n’'est cependant pas fixé.

La Vierge assise et l'Enfant

Appartenant à un type iconographique moins courant que celui de la Vierge debout, cette Vierge lorraine est une oeuvre extrêmement séduisante ; le raffinement des détails qui viennent souligner les vertus de la Vierge, les rehauts précieux de polychromie, le petit format de l'oeuvre,...

Le Jeune Chanteur

Venu heureusement illustrer au Louvre le moment italien de la carrière de Vignon, représenté jusqu'’ici seulement par la Mort de saint Antoine (1618 ?), le tableau se situe aisément dans le courant caravagesque, en particulier dans le groupe des figures à mi-corps de musiciens souvent traitées...

Commode-secrétaire

La commode-secrétaire de Grohé représente bien les tendances que les commentateurs soulignent à propos des meubles présentés à l’exposition des produits de l’industrie de 1839 : prédominance du palissandre, recherche de polychromie (ici par l'’introduction d'’ébène, de palmier de bout et de...

Armilla : la Résurrection

L'armilla, bracelet d'apparat destiné à être fixé à la hauteur de l'épaule, aurait été retrouvée dans le tombeau du prince André Bogoloubski (mort en 1174) dans la cathédrale de l'Assomption à Vladimir.

Femme effrayée d’'un coup de tonnerre qui vient de rompre un arbre à côté d’elle

Elève de Guillaume II Coustou, Jean-Baptiste Stouf était sculpteur du Roi depuis son agrément à l’'Académie en 1784, et sa réception l'’année suivante.

Le Portement de Croix

Inconnu avant son apparition en 1992 sur le marché d'’art parisien, ce panneau doit être rattaché à l'’activité de l’'atelier du Leydois Cornelis Engebrechtsz., au cours du premier quart du XVIe siècle.

Le Baptême du Christ

ŒOeuvre de jeunesse – en 1588, Cornelis n’'a que vingt-six ans ! Le Baptême du Christ est pourtant, déjà, l'’une des réussites les plus frappantes et les plus convaincantes du maniérisme harlémois pour ne pas dire hollandais tout court, le tableau valant bien les prouesses utrechtoises...

 confidentialité